Guide des consommateurs jardins 2025

96 Ph.S., quésaco ? Avant de rencontrer Philippe Simon qui a créé l’entreprise il y a 20 ans, nous ne savions même pas qu’on pouvait classifier le végétal à l’unité pour une gestion simplifiée. Et pourtant si ; nous voulons avoir des analyses précises et des données fiables, y’a besoin de matos ! Ph.S. Dans les années 2000, après le bug du même nom, la distribution jardin commençait à s’organiser pour gérer ses flux en caisse. Ce n’est pas si vieux, mais à cette époque, le classement se faisait souvent par famille avec un ‘code poubelle’ bien pratique pour y verser toutes les plantes qu’on ne maîtrisait pas ou qui avaient perdu leur étiquette. La gestion unitaire en était à ses balbutiements et le cadencier papier permettait de gérer les commandes plus ou moins bien, à condition d’avoir une gomme et un crayon de papier bien aiguisé ! Heureusement, en 2004, Philippe Simon décide de créer Ph.S. Devant la complexité et le temps imposés par la gestion unitaire, l’entreprise Ph.S. propose la création et l’entretien des ‘bases articles’. Après avoir tâtonné avec les services informatiques internes, nombre d’enseignes et de points de vente on fait appel à Philippe et son équipe pour gérer ce point clé particulièrement chronophage. Et c’est une affaire qui marche ! Lancé avec 2 personnes en 2004, elles sont aujourd’hui 11 à avoir rejoint l’entreprise. Économique ! Avec cette solution, le distributeur gagne beaucoup de temps en évitant de gérer ces saisies en interne. Financièrement, c’est entre 30 et 60% de gagné par rapport à une gestion maison. Tout cela demande un lien direct avec les fournisseurs référencés pour tenir à jour l’immense base de données inter-enseigne. Évidemment, la confidentialité est de mise… Et le végétal dans tout cela ? Voilà, voilà, on y arrive… C’est en papotant lors des JdC 2024 que nous avons compris la force de Ph.S. ! En effet, avec ces différents chiffres cloisonnés, calibrés et analysés, et tout en respectant la confidentialité des uns et des autres, nous pouvions sortir des statistiques particulièrement utiles pour les professionnels du secteur. Les chiffres Le relevé que nous allons vous présenter prend en compte la période du 31 mai 2023 au 1 er juin 2024. Elle concerne uniquement le végétal. Ce qui donne pour Ph.S. la saisie de 300 000 plantes venant des catalogues de plus de 250 producteurs français ou étrangers. C’est tout de même une moyenne de 1200 plantes par éleveurs ou grossistes avec les plantes d’intérieur, les fleurs et les plants de légumes, la pépinière. Et sur cette quantité, l’équipe Ph.S. a travaillé sur un panel d’une douzaine de points de vente pour plus d’un million de plantes passées en caisse dans la période. J’espère que vous me suivez toujours ? Nous pouvons donc nous appuyer sur des achats et non sur des « intentions d’achats », comme la plupart des sondages font habituellement état. Tatatatamm… Voici donc le Top 10 des plantes : - Les plus proposées : Issue de l’ensemble des catalogues, cette liste permet de retrouver les plantes les plus présentes sur le marché avant leur commercialisation. - Les plus vendues en volume : Sur la période 31 mai 2023 au 1er juin 2024 - Les plus vendues en valeur : - Sur la période 31 mai 2023 au 1er juin 2024 Et avec cela, vous pouvez déjà éviter de vous plan- ter dans la gamme ! C’est la crème de la crème, les 20/80 des 20/80… STATISTIQUES Les chiffres 2024 Ph.S. Philippe SIMON Gérant de Ph.S.

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