Edito, c’est re-parti pour un tour !

C’est la rentrée des classes, c’est aussi la rentrée au boulot. Dès le début du mois de septembre, le monde professionnel reprend ses petites affaires après la trève estivale. Tout le monde est chaud-bouillant pour la reprise en cette rentrée. Et la reprise est aussi annoncée par les économistes de tous poils. La croissance est repartie… Enfin !

En cette r-entrée de re-prise, c’est re-parti ! Yes…

Les commandes vont peut-être pleuvoir et nous risquons de retrouver un niveau de performance que nous avions perdu. Un niveau que nous avions connu il y a bien longtemps, à l’époque où notre économie marchait du feu de dieu, à l’époque où la consommation jardin était au plus haut, malgré les agressions de la météo.

En cette r-entrée de re-prise, c’est re-parti et on re-trouve le niveau !

Alors quoi faire ? Il n’y a pas de question à se poser, nous devons nous lancer à corps perdu dans la bataille, prendre des risques, re-commander, re-charger les stocks, re-tourner vers la qualité, re-trouver notre niveau de compétence, ré-embaucher si bien sûr c’est possible, ré-investir aussi… Re-commencer comme avant, avant la crise.

En fait, à force de rajouter des RE à chaque verbe, on fini par se dire que la vie est simple, il faut juste re-commencer ce que nous avons déjà vécu. Notre économie, notre vie, la bonne marche de nos entreprises… ne tiennent qu’à un RE.

L’inventeur du RE, c’est lui qu’à raison, le problème, ça sera de re-tenir la leçon pour la prochaine fois, ça nous évitera de re-plonger et de se re-trouver en galère.

On en re-parle à l’occasion ! Bonne semaine…

Ro-land Motte… Jardinier !